Il se [lever] de bon matin, et [aller] au bord d'un ruisseau, où il [emplir] ses poches de petits cailloux blancs, et ensuite [revenir] à la maison. On [partir] , et le petit Poucet ne [découvrir] rien de tout ce qu'il savait à ses frères. Ils [aller] dans une forêt fort épaisse, où à dix pas de distance, on ne se voyait pas l'un l'autre. Le bûcheron se [mettre] à couper du bois, et ses enfants à ramasser des broutilles pour faire des fagots. Le père et la mère, les voyant occupés à travailler, s'[éloigner] d'eux insensiblement, et puis s'[enfuir] tout à coup par un petit sentier détourné.
Lorsque ces enfants se [voir] seuls, ils se [mettre] à crier et à pleurer de toute leur force.
D’après Charles Perrault, « Le Petit Poucet », Contes.