J’ai eu si peu de nouvelles pendant ma maladie ! Personne ne venait me voir. [...]


Sept heures et demie sonnent quand j’entre dans la cour de récréation, par cette fin de février douce comme un printemps. On accourt, on me fait fête [...]. Je suis un peu étourdie de ce bruit. Enfin on me laisse respirer et je demande vite à la grande Anaïs les dernières nouvelles.



J’ si peu de nouvelles pendant ma maladie ! Personne ne me voir. [...]


Sept heures et demie quand j’ dans la cour de récréation, par cette fin de février douce comme un printemps. On , on me fête [...]. Je un peu étourdie de ce bruit. Enfin on me respirer et je vite à la grande Anaïs les dernières nouvelles.



D'après Colette, Claudine à l'école.