Le narrateur est un jeune homme déporté à Buchenwald.

Depuis deux ans, je vivais sans visage. Nul miroir, à Buchenwald. Je voyais mon corps, sa maigreur croissante, une fois par semaine, aux douches. Pas de visage, sur ce corps dérisoire. […]


Je voyais mon corps, de plus en plus flou, sous la douche hebdomadaire. Amaigri mais vivant […] Ce corps amenuisé mais disponible, apte à une survie rêvée, bien que peu probable.



Depuis deux ans, sans visage. Nul miroir, à Buchenwald. corps, , une fois par semaine, aux douches. Pas de visage, sur corps . […]


corps, de plus en plus , sous la douche hebdomadaire. mais […] corps mais , à une survie rêvée, bien que peu probable.



D'après Jorge Semprun, L’écriture ou la vie