D’abord, l’odeur grimpait l’escalier, et elle qui me réveillait dans mon : le café noir, cuit recuit, aux effluves de caramel pour la raison qu’il chauffait en permanence sur la fonte de la cuisinière à . Mon père nourrissait le fourneau avec des bûchettes et des rondins qu’il fendait dans la cave. J’entendais les sourds qui venaient de derrière les murs, étouffés, réguliers, . […] L’odeur humide, la terre battue. Les bras de mon père étaient , sa force m’impressionnait, elle contrastait avec son calme et douceur.

Michel Onfray, Le Corps de mon père, 2012
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